Glossary entry

French term or phrase:

droit à la ville

Italian translation:

diritto alla città

Added to glossary by AngelaDG
May 4, 2011 15:54
13 yrs ago
French term

droit à la ville

French to Italian Other Journalism
articolo sui diritti umani

"les gens ont droit au logement et à la ville".

Proposed translations

+2
17 mins
Selected

diritto alla città

.

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Note added at 24 min (2011-05-04 16:19:03 GMT)
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http://www.google.it/search?aq=f&sourceid=chrome&ie=UTF-8&q=...

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Note added at 1 giorno2 ore (2011-05-05 18:52:06 GMT) Post-grading
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Grazie a te.
Peer comment(s):

agree Antoine de Bernard
8 mins
Merci Antoine.
agree Emmanuella
23 mins
Grazie.
Something went wrong...
4 KudoZ points awarded for this answer. Comment: "Grazie mille Ivana!!!!!"
+4
4 mins

diritto a vivere la città

nel senso di essere liberi di circolare senza paura di aggressioni, ecc... almeno, io la intendo così :-)
Note from asker:
Grazie a tutti per l'aiuto!!!
Peer comment(s):

agree Françoise Vogel : buona trovata (senza contesto è difficile pensare ad altro)
2 mins
Grazie mille!
agree Bruno .. : esatto anche per me. Ciao Bruno
11 mins
Grazie mille!
agree Michele Esposito
16 mins
Grazie mille!
agree enrico paoletti
2 hrs
Grazie mille!
Something went wrong...
20 mins

diritto alla città

http://www.google.it/#sclient=psy&hl=it&source=hp&q=" diritt...


Il diritto alla casa non può prescindere dal *diritto alla città*
http://www.maranoweb.it/articles.asp?title=Il_diritto_alla_c...

Le lotte e le rivendicazioni per il *diritto alla casa* e per la qualità dell'abitare ­ il *diritto alla città* ­ sono quindi analizzate nel quadro delle dinamiche che, dalla città dei primi anni del secolo portano alla metropoli dei nostri giorni.
http://www.lafeltrinelli.it/products/9788854802995/Diritto_a...



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Note added at 23 min (2011-05-04 16:18:30 GMT)
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Moltissimi risultati:

Amburgo, più di 4.000 persone hanno manifestato per il diritto alla città
Il movimento per il diritto alla città, composto da più di quattromila persone e accompagnato da numerosi veicoli decorati in modo elaborato, ha dato vita alla manifestazione nel Moorweide.
http://fre.habitants.org/nouvelles/habitants_d_europe/grande...

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Note added at 28 min (2011-05-04 16:23:05 GMT)
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quindi la tua frase va tradotta semplicemente con:
"hanno diritto alla casa e alla città"
Note from asker:
Risposta esauriente, grazie Pierluigi per il prezioso aiuto!!!
Something went wrong...
29 mins

diritto di vivere in uno spazio urbano di qualità

PAM - Droit à la ville > Le Droit à la ville
- [ Traduci questa pagina ]
Le droit à la ville ne peut prendre uniquement la forme d'un droit à ne pas ...
www.reseau-ipam.org/spip.php?article107 -

DROIT A LA VILLE
Aux conceptions classiques de l’urbaniste « ajusteur-mécanicien » de la ville sous la pression des classes et des intérêts dominants, s’opposent les nouvelles fonctions d’un urbaniste « allocateur » des ressources –espace, service, logement, équipement....- afin de donner corps aux droits des citadins, au principal de ces droits, le droit à la ville-cité.
Il s'agit d'assurer l'effectivité de ce droit, collectif et individuel, à la ville, territoire de l'urbanisation et espace social dans lesquels on va et on vient librement, où l'on choisit, selon ses moyens, son lieu d'habitation, où l'on accède aux services que la collectivité assure ou assume pour répondre aux besoins sociaux sans lesquels il n’y a pas de véritable vie urbaine (éducation, santé, énergie, télécommunication, transports, développement culturel...).C'est un droit qui se conjugue avec les moyens (ressources) dont disposent individuellement et collectivement tous les citadins, mais dans certaines limites : ceux qui n'ont pas de moyens sont quand même titulaires de droits qu'ils doivent être capables de faire valoir comme des droits purs et simples ; ceux qui ont beaucoup de moyens ne doivent pas envahir, accaparer, «faire la loi» au point de restreindre les champs d'effectivité des droits de ceux qui en sont démunis.
Ce droit se réalise (devient réalité) dans un territoire, dans un espace social qui doit être organisé pour faciliter son exercice, dans des conditions économiques acceptables ; si la collectivité doit se ruiner pour l'assurer, elle fera tout pour limiter son action à quelques interventions exemplaires, à quelques échantillons.
Le droit à la ville se manifeste concrètement par des actes de jouissance d'un cadre de vie dont la qualité est un de ses attributs essentiels, participant à son essence même. Il ne peut prendre uniquement la forme d'un droit à ne pas être exclu de la ville. Être en ville dans des conditions infernales (sans toit, sans services, sans travail, sans soins, sans sa famille, etc.), ce n'est ni vivre ni vivre en ville. Le droit à la ville, c'est bénéficier d'un logement convenable, avoir un travail rémunérateur, s'installer familialement, vivre à l'abri des tracasseries policières même si on est né au loin... mais aussi, tout simplement et plus spécifiquement, habiter une ville belle, commode, saine, respectueuse de l'environnement. Ce cadre de vie est aussi un cadre d'exercice d'un droit de nature politique, du droit de participer à la cité, à son organisation, à sa conception.
La reconnaissance du droit à la ville comme fil rouge de l’aménagement consiste à imaginer l’aménagement comme le résultat de l’exercice d’un droit et non comme une faveur accordée à tel ou tel groupe social bien en cour.
Du point de vue politique, c’est avant tout la reconnaissance du droit de chacun (agissant isolément ou en groupement) de participer comme citadin (sans condition de citoyenneté), comme usager de la ville, aux décisions d’aménagement et d’urbanisme. La notion d’usager de la ville est intéressante. Elle est présente dans la plupart des lois européennes. Elle demanderait un approfondissement politique et pratique. L’usager n’est ni le public (masse anonyme et non organisée), ni le représentant d’une association agréée par les pouvoirs publics afin de défendre un intérêt général ou pas (qui fait figure de lobbyiste), ni le propriétaire foncier et immobilier (éternel opposant ou sournois profiteur) ni le partenaire (investisseur en embuscade). Le partage de la décision d’aménagement entre les instances politiques et les usagers ne peut se concevoir sans une représentation associative desdits usagers et l’acquisition par ces associations de compétences techniques ou la mobilisation par elles de capacités d’expertise externes. Un partage de décision implique un partage de savoir. La technicisation de certains mouvements associatifs est à l’ordre du jour. La culture associative de la revendication est à enrichir d’une culture du projet et du contre projet.
Du point de vue juridique, c’est le droit de critiquer tel ou tel dispositif, au motif que le droit à la ville n’est pas respecté ; il n’est pas exclu que cette reconnaissance puisse donner capacité juridique au citoyen de critiquer les décisions d’urbanisme devant la juridiction et ainsi faire pièce au droit de propriété (qui n’assure que la défense du droit de propriété) ou à l’invocation de l’intérêt général ou de l’utilité publique (qui très souvent ne sont que les habits protecteurs des intérêts de la puissance publique et de ses clients).
Le droit à la ville est un peu un paquet, un bouquet de droits spécifiques ; il ne sera pas facile de lui donner les caractéristiques classiques d’un droit : opposabilité, juridictionnabilité. Même si l’on se contente de performances juridiques limitées (on serait en présence d’un droit d’objectif, que l’on peut analyser comme un objectif vers lequel les pouvoirs publics doivent tendre) ce droit a quand même à notre avis des vertus en ce sens que s’il est démontré que, dans telle ville et dans telle circonstance, les autorités ne font pas ce qu’il faut et ce qui est en leur pouvoir, pour tendre vers l’objectif en question, de la sorte la démonstration juridique sera faite que le droit n’est pas légalement pris en compte.
Note from asker:
Merci beaucoup Carole! Articolo molto interessante!
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