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Justine Savary
Marketing und Tourismus-Spezialistin

Innsbruck, Tirol, Austria
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Rates

Portfolio Sample translations submitted: 2
French to English: Les villes intelligentes
General field: Science
Source text - French
SÉCURITÉ
L’insécurité est un sentiment subjectif mais reste bien présent
dans les villes. 21,2 % des français se sentaient en insécurité
près de chez eux en 2014. Il est donc important de
perfectionner le service de police de la ville. Mais l’insécurité ne
vient pas seulement de la délinquance, mais également de la
peur d’accidents ou de catastrophes contre lesquels la ville doit
être parée.
15
Lutte contre la criminalité
La criminalité est une des préoccupations majeures des villes aujourd’hui. Du délit au crime, celleci peut même prendre la forme du terrorisme qui représente aujourd’hui une véritable menace pour
les habitants. Il est du devoir de la ville d’assurer le maximum de sécurité à ses citoyens. Cela
passe par une surveillance accrue des lieux publics de la ville et un service de police efficace.
1 La ville dispose d’un service de police et de quelques caméras de surveillance.
2 La ville dispose d'un réseau de vidéosurveillance beaucoup plus dense et met en place
une cartographie de la criminalité. Il est possible de connaitre les zones à risque et agir
en conséquence : les services de police s’adaptent à chaque quartier de la ville en
fonction des taux de criminalité.
3 La ville met en place un réseau social privé entre les services de polices et les citoyens,
permettant d’échanger des informations. La police communique aux citoyens sur les
dangers actuels présents dans leurs quartiers, les habitants communiquent entre eux
sur des problèmes de sécurité. Les citoyens peuvent également prévenir directement la
police de certains méfaits qu’ils constatent, via une application mobile.
4 La ville dispose d'un réseau dense de vidéosurveillance intelligent : les caméras donnent
elles-mêmes l’alerte, il n’y a plus besoin qu’un agent regarde la bande en même temps.
5 Elle dispose également de logiciels permettant de faire de l’analyse prédictive:
l’ensemble des données recueillies sur la criminalité permettent de mettre en place un
modèle de prédiction les actes de malveillance.


Cybersécurité
La ville intelligente est une ville qui s’ouvre à tous ses usagers. Les villes deviennent hyperconnectées et un grand nombre de données, aussi bien individuelles que collectives, sont
ouvertes et accessibles à un nombre toujours croissant d’acteurs et de système d’information. De
ce fait, les villes s’exposent à de nombreuses failles potentielles qui posent réellement la
question de la cybersécurité.
1 La ville informe les habitants sur la protection de leurs données personnelles. Elle les
informe des dangers que peuvent représenter certains sites internet et les incitent à être
prudents lors de leurs navigations internet.
D’autre part, la ville possède elle-même un système de sécurité de ses données.
2 La ville renforce la cybersécurité en se dotant de systèmes technologiques performants
contre les cyber-attaques, accroit l’efficacité des systèmes déjà existants en proposant
une formation sur les systèmes de sécurité aux organismes et établissements qu’elle
gère. Elle se place aussi dans une logique d’amélioration continue et de résilience des
systèmes informatiques. Enfin la ville propose des systèmes d’identification plus
complexe qu’un simple mot de passe (empreintes digitales, etc).


Gestion des accidents et des situations
de crise
La sécurité d’une ville n’est pas seulement liée à son taux de criminalité, mais passe aussi par une
bonne anticipation des situations de crise lors de catastrophes ou d’accidents graves comme des
incendies, des coupures d’eau ou d’électricité, des accidents de la route etc. La ville de
demain doit pouvoir faire face efficacement à ce genre d’évènements, notamment grâce à une
coordination renforcée entre différents services de sécurités et une surveillance accrue des zones à
risques.
1 La ville dispose d’un système d’information permettant de communiquer rapidement aux
citoyens la survenue d’accidents graves (par des écrans à affichage numérique, etc)
2 La municipalité se dote également de capteurs dans des lieux à risques pour pouvoir
intervenir plus rapidement en cas de problème. Elle installe par exemple des capteurs
sur les lieux où peuvent survenir des incendies, des inondations,…
3 La ville dispose d'un centre de contrôle généralisé permettant d’intervenir en cas
d’accident majeur.


SANTÉ
Les citoyens se préoccupent de plus en plus de leur santé et
de la qualité de l’environnement dans lequel ils se trouvent.
Une ville qui n’émet aucune pollution et qui prend soin de la
santé de ses citoyens, des plus jeunes comme des plus âgés,
c’est à cela que pourrait ressembler la ville de demain.


Qualité de l’environnement

La ville de demain est consciente de l’impact des facteurs environnementaux urbains sur les enjeux
de santé publique. Elle porte un intérêt tout particulier à la qualité de l’air. En effet, nous respirons
plus de 12 000 L d’air par jour en large majorité au sein de bâtiments dont l’air est de 5 à 10 fois
plus pollué qu’à l’extérieur. La pollution de l’air est responsable de plus de 3 000 morts par an en
France mais également du développement de nombreuses pathologies.
1 La ville propose une première approche afin d’améliorer la qualité de l’environnement.
Elle favorise l’utilisation des végétaux et développe les espaces verts qui contribuent à
améliorer la qualité de l’air. Elle implante également des zones de mobilité douce et
notamment développe le réseau de pistes cyclables afin de favoriser les déplacements à
zéro émission. Enfin, elle déploie des dispositifs de prélèvement et d’analyse de
composés (air, sol, eau) permettant de détecter les substances nuisibles à la santé.
2 La ville porte un intérêt tout particulier à la qualité de l’air dans les bâtiments. Pour cela
elle favorise le recours à des matériaux de constructions, du mobilier ainsi que des
modes d’entretiens permettant de réduire la pollution intérieure des bâtiments (matériaux
sans composés cancérigènes, etc). Des capteurs de qualité de l’air sont également
présents à l’intérieur des bâtiments afin de pouvoir adapter la ventilation en cas de fort
pic de pollution. Enfin ces capteurs existent également à l’extérieur et sont reliés à un
réseau sans fil permettant ainsi de recueillir les données.
3 La ville met en place de nombreuses solutions innovantes pour réduire la pollution. Elle
dispose d’une cartographie de la qualité de l’air en temps réel permettant d’alerter les
habitants en cas de pic de pollution, d’agir sur le trafic, ou encore de donner des
préconisations sur les parcours des joggers, les sorties d’école ou les jeux pour enfants.
Du mobilier connecté, tel que des bancs connectés, peut également permettre aux
habitants d’obtenir des informations sur la qualité de l’air.
La ville favorise également le recours à des matériaux dépolluants (vitrage, bitumes,
peintures, etc).
Enfin elle peut aussi implanter des espaces verts innovants, comme par exemple des
plantes en sortie de gouttière permettant à la fois de dépolluer l’eau et l’air.


Santé


Forme physique et mentale

Il est important d’entretenir régulièrement sa forme physique grâce à des exercices sportifs réguliers.
L’homme du XXI est un homme sain de corps et d’esprit. Une autre tendance, parallèle à celle-ci,
apparait en réaction à un monde qui ne cesse de nous presser, où le rythme de vie devient de plus
en plus intense. Pour beaucoup il est devenu important de pouvoir se relaxer, se couper de cette
frénésie quotidienne, de prendre pour son temps. Ainsi la ville moderne doit pouvoir offrir un cadre
de vie où il est possible de réaliser ses activités sportives et de se reposer dans le calme.
1 La ville dispose de lieux publics permettant de se relaxer et de pratiquer une activité
physique (pistes pour le jogging, terrains de football ou de basket, parcs calmes, etc)
2 La ville organise des évènements sportifs originaux accessibles à tous, comme des
courses d’obstacles ou des bubble foot, etc. Ces évènements sont fédérateurs et
permettent d’attirer des personnes qui ne n’ont pas l’habitude de pratiquer un sport.
La ville dispose d’applications permettant de faire connaître les lieux où il est possible de
faire du sport ou se détendre.
3 La ville dispose d’espaces connectés dédiés à l’activité physique et à la relaxation. Ces
espaces permettent grâce à des objets connectés intégrés dans le paysage permettant
d’obtenir des conseils, l’assistance d’un coach sportif ou encore l’analyse de toute son
activité physique. Des espaces sans ondes, multi-sensoriels et musicaux servent à
l’apaisement et à la détente.


Accompagnement des personnes âgées

La population mondiale est une population vieillissante. Cela est notamment dû au progrès de la
médecine qui ne cesse de rallonger la vie humaine. Cependant, les personnes âgées ont toujours
besoin d’être accompagnées et ne sont pas à l’abri d’accidents domestiques ou de soudaines
complications de santé. La maison de retraite est désormais une solution insuffisante puisqu’il est
admis aujourd’hui que les personnes du troisième âge souhaitent rester à leur domicile le plus
longtemps possible. La Smart City se doit d’offrir à ces personnes tous les dispositifs urbains et
matériels nécessaires afin de permettre le maintien à domicile sans risque pour ces dernières.
1 La ville propose des services facilitant le quotidien des personnes âgées. Cela
correspond aux services à domiciles, des services d’accompagnement etc.
2 La ville travaille à une meilleure intégration des personnes âgées. Elle accompagne les
personnes âgées qui auraient des difficultés pour assimiler les progrès technologiques et
numériques de leur ville, en organisant des cours spécifiques sur le numérique dédiés
aux personnes du troisième âge. La Smart City adapte les outils de communication
(grosses icônes sur les outils technologiques, etc). Elle intègre les personnes âgées dans
la société en mettant en place des logements solidaires ou des immeubles collectifs où
toutes les générations se rencontrent, et encourage l’entraide entre les résidents.
3 La ville se dote de bâtiments dédiés aux personnes du troisième et du quatrième âge.
Ces bâtiments disposent de commandes centralisées, d’outils d’assistances, de
détecteurs de mouvements et sont conçus pour que les personnes âgées n’aient aucun
mal à se déplacer dans la résidence.
4 La ville se dote de bâtiments à la pointe de la technologie dédiés aux personnes âgées.
Ces bâtiments disposent d’une technologie des plus avancées, comme des écrans
muraux pour les consultations médicales, des capteurs intelligents qui analysent le
comportement des personnes âgées et permettent d’alerter en cas de changement
brusque (actimétrie, etc).
22



BIEN-ÊTRE
Le Conseil Européen publiait en 2010 le guide pour « Construire
le progrès sociétal pour le bien-être de tous avec les citoyens et
les communauté ». Le bien-être des citoyens devient donc un
élément essentiel dans le progrès de notre société sur lequel il
faut s’appuyer pour construire la ville de demain.


Espaces verts

Etre en contact avec le végétal est considéré par 93% des Français comme important pour leur
équilibre au quotidien et 7 Français sur 10 choisissent leur lieu de vie en fonction de la présence
d’espaces verts à proximité. Les parcs, les espaces verts et la présence de l’eau créent un paysage
apaisant et offrent des espaces de convivialité, de sport et de loisirs. Ces espaces verts
constituent également des lieux de rencontres notamment avec le développement des potagers
urbains.
C’est un véritable enjeu pour la ville de demain de prendre en compte ces considérations car
aujourd’hui 84% des Français estiment qu’il faut créer davantage de jardins et de parcs en milieux
urbains.
1 La part occupée par les espaces verts dans la ville est suffisante, c’est à dire que le
pourcentage de la surface de la ville occupée par les espaces verts est au moins de
20%.
2 Chaque habitant doit pouvoir avoir accès à un espace vert prés de son lieu d’habitation.
La distance maximale qu’il doit parcourir pour rejoindre un espace vert doit être de 500m
(15 minutes de marche à pied).
3 La ville a mis en place des potagers partagés. Ce sont des espaces aménagés par la
ville permettant aux habitants de jardiner. L'objectif poursuivi est de permettre aux
personnes vivant à proximité de disposer d'un terrain pour réaliser des cultures à des
fins essentiellement vivrières, tout en permettant l’apprentissage de la vie collective et de
pratiques respectueuses de l’environnement.
La ville offre également la possibilité aux habitants disposant d’un jardin mais n’ayant
pas le temps de le cultiver et aux habitants souhaitant jardiner mais ne disposant pas
d’un espace pour le faire de se rencontrer.
4 La ville dispose d’un certain nombre de bâtiments verts. Ce sont des bâtiments
possédant des toitures végétalisées, ou encore des murs végétaux. Ces bâtiments
peuvent également bénéficier de potagers partagés sur leur toiture.
5 La ville devient une ville « comestible ». Des organismes, associations ou encore des
écoles plantent des arbres fruitiers dans la ville mis à disposition pour tous les citoyens.
La ville peut mettre en place d’autres outils collectifs tels que les poulaillers collectifs ou
chaque habitant à la possibilité de s’en occuper et de récolter des oeufs.


Promotion de la culture


Les événements culturels représentent une activité de loisir pour les citoyens dans la ville. La
diversité de la culture permet à chacun de trouver des activités correspondant à ses goûts. Au-delà
des considérations esthétiques et de loisir, l’engagement de la ville dans la culture peut susciter de
nombreux avantages, en matière de création et de maintien identitaire, de cohésion sociale,
d’intégration communautaire, de participation citoyenne ou d’amélioration de la qualité de vie.
Cependant il existe encore de fortes disparités quant à cet accès à la culture et la ville de demain
se doit de développer une culture accessible à tous.
1 La ville a mis en place une politique permettant de rendre la culture plus accessible
grâce à une promotion de la culture dans les écoles. De cette manière les enfants se
familiarisent à la culture de leur ville dès leur plus jeune âge. Il peut également exister des
journées portes ouvertes pendant lesquelles certains bâtiments sont rendus accessibles
aux habitants. Des tarifs préférentiels peuvent être mis en place, ainsi que des journées
où l’accès à certains évènements ou lieux culturels est gratuit. Enfin, des centres
culturels sont implantés dans certains quartiers où les habitants n’ont pas forcément
l’habitude de se rendre dans des lieux culturels de la ville.
2 La ville dispose d’applications offrant de nombreux services relatifs aux évènements et
aux lieux culturels. Par exemple, elles peuvent donner le nombre de visiteurs en temps
réel. Elles permettent le payement en ligne des activités culturelles ou tout simplement
donnent les dates et lieux des événements culturels. De plus ces applications collectent
un grand nombre de données permettant de construire des modèles prédictifs, comme
par exemple estimer le flux de visiteurs dans un monument au cours de la journée.
3 La ville dispose de services interactifs. Ceci peut être réalisé au moyen d’objets
connectés : une tablette détecte à quel endroit la personne se trouve et lui donne
automatiquement un grand nombre d’informations sur ce qu’il se trouve autour de lui.
Ainsi le citoyen peut interagir avec son environnement et notamment comprendre les
évolutions de la ville.
De tels services sont également disponibles dans les espaces verts.


Espaces connectés
On entend par espaces connectés l’ensemble des lieux disposant de moyens permettant au citoyen
de se connecter gratuitement au réseau internet afin d’obtenir des informations relatives à son
environnement. Dans un monde où une grande partie des services requiert une connexion internet
(mails, applications mobiles pour les transports, etc.) il est important pour la ville de permettre à ses
citoyens d’accéder facilement à ces services.
1 Le Wifi est disponible dans les lieux principaux de la ville (principaux bâtiments, places,
axes de circulation, etc). De plus le réseau 4G est disponible.
2 Le réseau de Wifi est dense dans la ville et est par exemple disponible dans les
transports en commun, de nombreux parcs et autres espaces verts de la ville.
3 En plus du réseau Wifi bien développé, la ville dispose d’un mobilier urbain connecté. Il
peut par exemple s’agir de bancs connectés, de bornes connectées ou encore de
trottoirs connectés. Ils permettent de recharger son téléphone portable, de connaître la
qualité et la température de l’air, ou encore d’obtenir des informations sur ce qu’il se
trouve autour de nous (horaires des transports en commun, horaires des musées à
proximité, etc).
4 Le mobilier urbain peut en plus interagir avec les citoyens. Ces derniers ne sont plus
seulement consommateurs de l’information, mais peuvent agir sur l’information. Par
exemple, le citoyen peut communiquer à la ville la qualité de l’air relevée par un capteur
connecté à son téléphone.
Translation - English
SECURITY
Insecurity is a subjective feeling which remains present in cities. In 2014, 21,2% of the French were feeling insecure close to their home. It is therefore essential to improve the city’s police service. But insecurity does not only come from delinquency, but also from the fear of accidents or disasters for which the city must be prepared.

Fighting against criminality
Criminality is one of the main concerns of cities today. From offences to crimes, it can even take the form of terrorism, which represents nowadays a real threat for inhabitants. It is the duty of the city to provide its citizens with the greatest safety level. This involves an increased monitoring of public places in the city as well as an efficient police service.

1 The city has a police service and a few surveillance cameras available.
2 The city has a much wider video surveillance network and is implementing a criminality-
mapping. It is possible to know the risk areas and then act accordingly: the police services
adapt to every neighbourhood of the city according to the criminality rates.
3 The city is implementing a private social network between the police services and the
citizens as a way of exchanging information. The police lets the citizens know about the
current dangers in their neighbourhoods, while the inhabitants communicate with each other about security problems. The citizens can also directly warn the police, through a mobile application, about some misdeeds they notice.
4 The city has a wide and smart video surveillance network: the cameras issue themselves a
warning, an agent no longer needs to look simultaneously at the video tape.
5 The city has also softwares available, allowing for predictive analysis to be carried out: all the data collected on criminality allow for the implementation of a predictive model of malicious acts.
















Cybersecurity
The smart city is a city that opens up to all its users. Cities are becoming hyperconnected and a large amount of both individual and group data, are open and accessible to an ever-increasing number of players and information systems. Consequently, cities are facing many potential flaws which raise the question of cybersecurity.


1 The city informs the inhabitants on the protection of their personal data, as well as on the dangers that can represent some internet websites, and encourage them to be cautious when they go online.
Furthermore, the city itself has got a security system for its data.


2 The city provides greater security by adopting efficient technological systems against cyberattacks, it increases the efficiency of the existing systems by providing the different bodies and establishments that it manages with a training on security systems. Moreover, the city adopts a logic of continuous improvement and resilience of the computer systems. Finally, the city offers identification systems that are more complex than a simple password (fingerprints, etc).




















Managing accidents and emergency situations

A city’s security is not only related to its criminality rate, but it also involves a good anticipation of crisis situations during disasters or serious accidents such as fires, water or power cuts, car accidents, etc. The city of tomorrow must be able to deal with this kind of events in an effective way, especially thanks to a reinforced coordination between different security services and an increased monitoring of risk areas.

1 The city has an information system available which enables the citizens to be informed quickly about the occurrence of serious accidents (thanks to LCD displays, etc).
2 The city council also gets equipped with sensors in risk areas to be able to take fast action if a problem occurs. For instance, it deploys sensors at places where fires, floods (…) can occur.
3 The city has a generalized control centre allowing for an intervention in the event of a major accident.

















HEALTH

Citizens are increasingly concerned about their health and their environment’s quality. An emission-free city that takes care of the health of its citizens, both young and old: that is how the city of tomorrow could look like.



Environmental quality

The city of tomorrow is aware of the impact of urban environmental factors on issues related to public health. It pays particularly attention to the air quality. Indeed, we breathe more than 12,000 liters of air daily, mostly in buildings which air is from 5 to 10 times more polluted than outside. Air pollution accounts for more than 3,000 deaths per year in France as well as for the development of numerous pathologies.

1 The city offers a first approach to improve the environmental quality. It fosters the use of plants and develops green spaces that help to improve air quality. It also establishes areas of soft mobility and develops e.g its network of bicycles paths to promote emission-free movements. Finally, the city deploys collecting and analysis devices for compounds (air, soil, water) allowing for the detection of substances that are dangerous to health.
2 The city pays particular attention to air quality in buildings. It therefore fosters the use of building materials, furniture and cleaning devices allowing for the reduction of indoor pollution (materials without carcinogenic compounds, etc). Air quality sensors are also placed inside the buildings in order to be able to adapt the ventilation in the event of an important pollution peak. Finally, these sensors also exist outside the buildings and are connected to a wireless network allowing for data collection.
3 The city is implementing numerous innovative solutions to reduce pollution. It has a cartography of air quality available in real time to alert the population in the event of a pollution peak, have an impact on traffic, or provide guidance on joggers’ routes, afterschools or children’s play areas. Connected furniture, such as connected benches, can also enable the population to obtain information on air quality.
The city also fosters the use of “depolluting materials” (windows, bitumen, paints, etc).
Finally, the city can also establish innovative green spaces, such as plants placed under gutters, allowing for both the depollution of water and air.










Health

Physical and mental condition

It is essential to stay physically active by practicing sport regularly. The Man of 21st century is a Man with a healthy mind and body. Another parallel trend appears in response to a world that keeps speeding us up, with a lifestyle more and more intense. For many people, it has become essential to relax, to get away from this daily frenzy, to take their time. Thus, the modern city should be able to provide a living environment where it is possible to practice one’s sport activities and rest in quiet areas.

1 The city has available public places for its population to relax and practice a physical activity (jogging tracks, football fields or basketball courts, quiet parks, etc).
2 The city organizes original sporting events accessible to all, such as obstacle races or bubble foot, etc. These events federate people and are a way to attract those who are not used to practice a sport. The city has available applications showing places where it is possible to work out or relax.
3 The city has available connected spaces dedicated to physical activity and relaxation. These spaces enable people to get advice, the help of a sports coach or the analysis of their whole physical activity, thanks to connected devices integrated in the landscape. Waveless, multi-sensory and musical spaces are used to calm down and relax.


















Accompanying seniors

The global population is growing old. This is particularly due to progress in medicine which keeps extending human life. However, elderly people still need to be accompanied and are not immune to domestic accidents or sudden health complications. The old people’s home is now an inadequate solution since it is now admitted that seniors wish to stay at home as long as possible. The Smart City must provide them with all of the urban schemes and the necessary equipment to enable them to stay at home without any risk.

1 The city offers services making the elderly’s everyday life easier (at-home services, support services, etc).
2 The city works on a better integration of elderly people. It accompanies those who might have difficulties to assimilate technological and digital progress of their city, by organizing specific classes on digital issues dedicated to seniors. The Smart City adapts the communication tools (big icons on technological tools, etc). It integrates elderly people in the society by establishing social housing or multiple dwellings where all generations are gathered together, and fosters mutual aid between residents.
3 The city gets equipped with buildings dedicated to people of the third and fourth ages. These buildings have centralized commands, assistance tools, motion sensors and are designed in such a way that elderly people have no problem with moving around in the residence.
4 The city gets equipped with cutting-edge buildings dedicated to elderly people. These buildings have most advanced technological devices, such as wall screens for medical consultations, smart sensors which analyze the behaviour of elderly people and allow to issue a warning in the event of a sudden change (actimetrics, etc).












WELL-BEING

The European Council released in 2010 the guide to “Build societal progress for the well-being of all, including citizens and communities”. The well-being of citizens therefore becomes a crucial point in the progress of our society, on which we should rely to build the city of tomorrow.


Green spaces

93% of French consider that being in contact with plants is important for their daily balance and 7 French out of 10 chose their living space according to the presence of green spaces nearby. Parks, green spaces and water create a soothing landscape and provide spaces for social interaction, sport and leisure. These green spaces are also meeting places, e.g with the development of city gardening.
Taking these considerations into account is a real issue for the city of tomorrow: today, 84% of French think that more gardens and parks should be created in urban areas.

1 The share of green spaces in the city is sufficient, that means that the percentage of the
city’s surface covered by green spaces accounts for at least 20%.
2 All inhabitants should have access to one green space close to where they live. The maximum distance they have to walk to reach a green space should be 500 meters (15 minutes walking distance).
3 The city has established shared gardens. These are laid out by the city council, enabling the inhabitants to garden. The aim is to let people leaving nearby have an area where they can grow plants essentially for food-producing purposes, while enabling people to learn how to live together and adopt environmentally friendly practices.
The city also provides the inhabitants having a garden but no time to cultivate it with the chance of meeting those who wish to garden but do not have an appropriate space for it.
4 The city has available green buildings, which have either green rooves or plant walls. These buildings can also have shared gardens on their rooves.
5 The city becomes an “edible” city. Some bodies, societies or schools plant fruit trees in the city, which are at the disposal of all citizens. The city can implement other collective tools such as henhouses that everyone can take care of and where everyone can collect the eggs.












Promoting the culture

Cultural events represent a leisure activity for citizens. The diversity in terms of culture enables everyone to find activities they like. Beyond the aesthetic and leisure-related considerations, the city’s commitment for culture can bring about some benefits, as regards identity creation and preservation, social cohesion, community integration, civic involvement and improvement of life quality. However, strong inequalities exist regarding this access to culture and it is the duty of the city of tomorrow to make culture accessible to everyone.

1 The city has implemented a policy aiming at making culture more accessible by promoting it in schools. This way, children can get to know the culture of their city very early on. Open days can also exist, during which some buildings are made accessible to inhabitants. Discounts can be set up, as well as days when the access to some events or cultural places is free. Finally, cultural centres are established in some neighbourhoods where inhabitants are not necessarily used to visit cultural places in the city.
2 The city has available applications offering numerous services related to the cultural events and places. For instance, they can deliver the number of visitors in real time. They allow for the online payment of cultural activities or simply provide the dates and places of the cultural events. Moreover, these applications collect a large amount of data enabling to build predictive models, such as the estimation of the visitor flow of a monument during the day.
3 The city has available interactive services. This can be carried out through connected devices: a tablet detects where the person is and gives him/her automatically a large amount of information on what he/she can find around him/her. This way, the citizen can interact with his/her environment and especially understand the development of the city.
Such services are also available in green spaces.













Connected spaces

« Connected spaces » refer to to all places with means enabling the citizen to connect to the internet network for free to obtain information related to his/her environment. In a world where most services require an internet connection (mails, mobile applications for transport networks, etc), it is essential for the city to provide its citizens with an easy access to these services.

1 The WiFi connection is available in the main places of the city (main buildings, squares, thoroughfares, etc). Besides, the 4G network is available.
2 The WiFi network is dense in the city and available in public transport for instance, as well as in many parks and green spaces of the city.
3 In addition to the well-developed WiFi network, the city has connected urban furniture, such as connected benches, markers or pavements. They enable to recharge one’s mobile phone, find out the air quality and temperature, or get information on what can be found nearby (timetables of public transport, opening times of museums nearby, etc).
4 Moreover, urban furniture can interact with citizens. The latter are no longer simple consumers of information, they can work on information. For instance, the citizen can communicate to the city council the air quality read by a sensor connected to his/her mobile.







German to French: Auf roten Sohlen unterwegs: EuGH soll Streit zwischen Louboutin und Deichmann entscheiden
General field: Marketing
Source text - German
Auf roten Sohlen unterwegs: EuGH soll Streit zwischen Louboutin und Deichmann entscheiden

Diese roten Sohlen beschäftigen seit Jahren die Justiz. Erfunden hat sie der französische Modeschöpfer Christian Louboutin. Sein Markenzeichen: Edle Damenschuhe mit rotlackierter Sohle. Viele prominente Frauen tragen sie, in der Serie „Sex and the City“ hatten die Pumps sie einen werbewirksamen Cameoauftritt. Der Designer verteidigt seine Idee vehement, führte schon viele Verfahren – mit unterschiedlichem Ausgang. Nun auch vor dem Europäischen Gerichtshof (EuGH) – gegen das Schuhunternehmen Deichmann. Die „Rechtbank Den Haag“ hat es dem EuGH vorgelegt.
Die Handelskette hatte unter ihrer Marke „5th Avenue“ ähnliche, hochhackige Schuhe mit roter Sohle angeboten – für unter 40 Euro. Die High Heels von Louboutin sind in der Regel kaum unter 500 Euro zu finden. Der Modemacher sieht darin seine Markenrechte verletzt – und wehrt sich einmal mehr. Er klagte 2013 gegen das niederländische Tochterunternehmen von Deichmann, die Firma vanHaren, und ließ den Verkauf untersagen. Weiterhin forderte er Schadensersatz.
In den USA kämpfte Louboutin vor vier Jahren unter anderem schon gegen Yves Saint Laurent, die einen vollständig roten Damenschuh (inklusive roter Sohle) auf den Markt gebracht hatte. Louboutin verlor – die Richter hielten gerade den Kontrast zwischen roter Sohle und dem Rest des Schuhs für prägend. Das sei jedoch im Fall von Yves Saint Laurent wegen seiner insgesamt roten Farbe nicht der Fall. Auch in Europa führte Louboutin Prozesse gegen bekannte Modeunternehmen – mal gewann er, mal die anderen. Umso spannender ist es deshalb, wie nun der EuGH entscheiden wird.
Die Schuhe mit der markanten Sohle sind in Europa unter anderem in Großbritannien und den Beneluxstaaten eingetragen („sonstige Marke“, Nr. 8845539). In der Beschreibung des Markenamtes heißt es: „Besteht aus der Farbe Rot (Pantone-Code18.1663TP), die wie dargestellt auf die Sohle eines Schuhs aufgebracht ist (die Kontur des Schuhs ist also nicht Bestandteil der Marke, soll aber die Lage der Marke kennzeichnen).
Letztlich ist der Fall aus verschiedenen Gesichtspunkten interessant – insbesondere, wenn man ihn nach deutschem Recht durchleuchten würde. Denkbar wäre es nämlich durchaus, dass sich ein Modeschöpfer wie Louboutin für seine Schuhe eine sogenannte Positionsmarke („sonstige Marke“) schützen lässt. Sie wird dadurch geprägt, dass sie immer auf einem bestimmten Teil einer Ware stets in derselben Position angebracht wird und somit als Herkunftshinweis dient. Positionsmarken kommen nicht häufig vor, sind jedoch anerkannt. Bekannte Beispiele sind der „Knopf im Ohr“ von Steiff, der rote Streifen unter der Schuhsohle von Lloyd oder aber ein Ausrufezeichen auf einer Jeanstasche.
Denkbar wäre auch eine sogenannte Farbmarke – schließlich verwendet Louboutin scheinbar immer die rote Farbe Pantone 18.1663TP. Doch an die Eintragung einer Farbmarke sind hohe Anforderungen gesetzt – immer wieder gab es in der Vergangenheit Auseinandersetzungen zwischen Markeninhabern. So standen schon das Nivea-Blau, das Gelb von Langenscheidt sowie das Rot der Stadtsparkassen vor Gericht auf dem Prüfstand.
Man darf also auf die Entscheidung der EuGH-Richter aus Luxemburg gespannt sein.


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Sur la route en semelles rouges: la CJUE doit trancher le litige entre Louboutin et Deichmann

Cela fait des années que ces semelles rouges ont affaire à la justice. Elles ont été inventées par le créateur de mode français Christian Louboutin. Le signe distinctif de sa marque: des chaussures de luxe pour femmes à semelle rouge laquée. Nombreuses sont les grandes pointures féminines qui les portent, et la petite apparition des escarpins dans la série „Sex and the City“ a eu un grand impact publicitaire. Le créateur défend ardemment son idée et a déjà intenté plusieurs actions en justice – avec des résultats divers et variés. Et maintenant devant la Cour européenne de Justice, contre le fabricant de chaussures Deichmann. La Cour de la Haye l’a présenté à la CJUE.
La chaîne de distribution avait commercialisé des chaussures semblables, à talons hauts et semelles rouges sous le nom de marque „5th Avenue“, et cela pour moins de 40 euros. En général, il est presque impossible de trouver les talons hauts de Louboutin pour moins de 500 euros. Le créateur de mode y voit ici une atteinte aux droits de sa marque, et se défend une fois de plus. En 2013, il avait porté plainte contre la filiale néerlandaise de Deichmann, l’entreprise vanHaren, et a fait interdire la vente de ses chaussures par cette dernière. Il avait même demandé des dommages et intérêts.
Il y a 4 ans aux Etats-Unis, Louboutin s’était déjà défendu, entre autres, contre Yves Saint Laurent qui avait commercialisé une chaussure pour femmes entièrement rouge (à la semelle rouge également). Louboutin avait perdu – les juges avaient justement considéré comme critère distinctif le contraste entre la semelle rouge et le reste de la chaussure. Cependant, il semblerait que ce ne soit pas le cas pour Yves Saint Laurent, en raison du fait que sa chaussure est intégralement rouge. Louboutin a également mené des procès contre des entreprises de mode de renom en Europe. Il a parfois gagné, parfois non. A présent, le verdict de la Cour européenne de Justice est d’autant plus attendu.

En Europe, les chaussures à la semelle reconnaissable sont notamment présentes sur le marché britannique et dans les Etats du Benelux („marque autre“, n 8845539). Dans le descriptif du bureau des marques, on y lit: « la couleur rouge (code Pantone n°18.1663TP) appliquée sur la semelle d’une chaussure telle que représentée (le contour de la chaussure ne fait donc pas partie de la marque mais a pour but de mettre en évidence l’emplacement de la marque) ».
En fin de compte, ce cas précis est intéressant à différents points de vue, en particulier si on l’examine à travers le prisme de la législation allemande. Il ne serait sûrement pas impensable qu’un créateur de mode comme Louboutin fasse en sorte de protéger une marque dite de position („marque autre“) pour ses chaussures. Elle se caractérise par le fait qu’elle apparait toujours au même emplacement sur une partie spécifique d’un produit et a ainsi valeur d’indicateur d’origine. Les marques de position sont rares, et sont pourtant reconnues. Parmi les exemples connus, on compte Le „bouton à l’oreille“ de Steiff, la bande rouge sous la semelle de la chaussure Lloyd ou un point d’exclamation sur une poche de jean.
Une marque dite „de couleur“ serait également envisageable – en fin de compte, Louboutin utilise visiblement encore la couleur rouge Pantone 18.1663TP. Mais l’enregistrement d’une marque de couleur est soumis à de hautes exigences – les conflits entre propriétaires de marque ont toujours existé. Ainsi, le bleu Nivea, le jaune des dictionnaires Langenscheidt tout comme le rouge des caisses d’épargne municipales allemandes ont aussi déjà été examinées par les tribunaux/les tribunaux se sont aussi déjà saisis du bleu Nivea,….
Il a y donc de quoi attendre avec impatience la décision des juges de la CJUE à Luxembourg.

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